l’action de la fondation conduit à aider concrètement les populations locales en participant à l’éducation des enfants : or, dans ce genre de pays, la formation est un formidable levier pour le changement après la satisfaction des besoins primaires (boire, manger).
Voila donc une nouvelle facette de notre conservation-diffusion qui permettrait de « boucler la boucle » et de répondre un peu aux tenants de la « vraie solution » : la protection des biotopes. Il reste à en inventer les modalités, ce qui n’est pas le plus compliqué si la volonté existe.
C’est un peu ce que nous avions fait en 2005, en organisant des dons de poissons, ces derniers étant ensuite vendus, les fonds récoltés étant reversés à une ONG spécialisée dans les pays du Sahel (accès à l’eau, éducation, diminution du travail des femmes, etc.). A l’époque, cette idée tout à fait nouvelle a rencontré un certain succès mais les détracteurs ont été les plus forts… Cette fois, nous pouvons avoir l’occasion de lier fortement un projet aquariophile à l’aide aux populations locales, une sorte de retour à la source !
y a t il un meilleur levier pour motiver les amateurs ?
Y a t il une plus grande ambition ?