- les mouvements écologiques poussent à raréfier la détention d’animaux, en particulier sauvages
-prenant conscience de la richesse de leur faune et flore, les pays ont tendance à renforcer leur réglementation soit pour limiter ou interdire l’export de poissons, soit pour mieux protéger leurs parcs et réserves.
-Les difficultés économiques provoquent une réallocation des ressources financières consacrées aux hobbies, voire un abandon de l’aquariophilie
-La demande émanant de certains pays (Asie, Russie) tend à baisser, tandis que d’autres (Turquie) exercent une pression considérable sur la pêche provoquant, pour certains biotopes (Lac Tanganyika) une désorganisation des pécheurs et des exportateurs traditionnels dont les zones de travail se trouvent remises en cause.