D’une manière générale, la détention d’un poisson sauvage est souvent vécue par les aquariophiles comme un « must ». Certains diront que cela ne flatte, bien souvent, qu’un ego un peu sensible, mais ce sont de fort mauvaises langues ! D’autres observeront que le problème ne se pose pas pour eux, puisque les rares sauvages sont ceux qui sont ramenés par les copains ou les grands voyageurs.
Puisqu’il est souvent difficile d’en discuter et d’aboutir à des conclusions claires, nous n’allons pas ouvrir ce débat mais hardiment exposer notre position acquise après de nombreuses années d’expérience.
Parler des sauvages, c’est, pour essayer d’être un peu rationnel, évoquer deux questions :