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L'idée qui consisterait à ne voir dans les traitements non médicamenteux que des "remedes anciens" est à mon sens erronée, car ils ont, pour la plupart, leur utilité. A l'opposé, il est maintenant relativement evident que ces traitements, à eux seuls et à ce jour, ne peuvent pas combattre efficacement Tropheus-bloat.
Ces traitements sont issus d'une période de découverte (par exemple des cichlides) et, à cette époque marquée encore par une certaines méconnaissance des maladies affctant les poissons, l'idée d'utiliser un produit medicamenteux n'etait pas evidente. On a donc appliqué les recettes anciennes, sans avoir un objectif précis (autre que de soigner le poisson) et en se referant souvent aux techniques préventives. Par ailleurs, le fameux gonflement etait souvent rapproché du fleau qui frappait nombre de cichlides sauvages recemment importés : les vers plats et ronds (d'où ce signe défini comme caractéristique de fec blanche et translucide...).
Il y a donc eu l'intention de soigner, d'aider, de soulager, mais aussi des confusions bien comprehensibles...et cela perdure encore !
En fait, nos observations sur une longue durée montre que, dans une tres grande majorité de cas, ces traitements en peuvent, à eux seuls, combattre efficacement Tropheus-bloat pour au moins 3 raisons :
- certains sont orientés vers la recherche de confort, avec l'idée de faire "dégonfler" le poisson afin qu'il réduise sa dépense energétique. en augmentant la pression osmotique, l'idée etait aussi de "faire sortir" les agents pathogenes qui infestaient le poisson.
- une attaque bacterienne etant souvent suggérée, le traitement de l'eau sous UV a été préconisé, mais il est sans effet sur les pathogenes à l'interieur du poissons (intestins)...
- les produits à base de plantes peuvent avoir une utilité en préventif leger, mais ils se revelent inefficaces lorsque Tropheus -bloat est déclaré.
En résumé, certains traitements non medicamenteus peuvent constituer constituer une aide, un appoint, pour combttre Tropheus-bloat mais, en l'état actuel des connaissances, il n'apparait pas qu'il faille les employer sans un traitement medicamenteux solide qui, en cherchant à eliiner les agents pathogene, va aussi réduire considérablement les risques de rechute.